Saturday, April 20, 2024

On screenplay fiction 4

 


 About the illustrated screenplay novel The Business Army 

Monday, April 15, 2024

Sur les romans scénarios 2

 Le Canada publie un nombre raisonnable de livres – même si ce nombre pourrait être augmenté ; Son plus grand défi, cependant, est de vendre davantage de livres… c'est-à-dire d'augmenter sa part du marché canadien du livre par rapport à son point bas actuel de 5 pour cent.


Quels types de stratégies pourraient être utilisées ? Les éléments suivants méritent d’être discutés :


1. Marketing et visibilité améliorés


Il faut un effort concerté pour commercialiser les livres canadiens de manière plus agressive, tant au pays qu'à l'étranger. Cela pourrait impliquer des campagnes mettant en valeur les aspects uniques de la littérature canadienne et sa pertinence par rapport aux enjeux contemporains.


2. Soutien des détaillants (libraires faisant la promotion de la littérature canadienne en la mettant plus en évidence dans les magasins et les plateformes en ligne).


3. Initiatives culturelles. Ceux-ci existent déjà, mais il y a des absences flagrantes, comme les grands salons du livre. Les festivals de nouveaux médias pour les formes hybrides telles que les vidéopoèmes, les films d'auteur et les récits cinématographiques sont indispensables.


4. Éducation et sensibilisation. Insérer davantage de littérature canadienne dans les programmes éducatifs et les programmes de lecture communautaires.


5. Diversification des modèles de publication. Adopter véritablement des modèles d'édition alternatifs, tels que l'édition indépendante et l'auto-édition (nous en parlerons plus tard, car le snobisme enraciné a créé une situation autodestructrice et intellectuellement malhonnête à cet égard).


6. Distribution internationale. Le renforcement des canaux de distribution internationaux pourrait aider les romans canadiens à gagner en popularité et en lectorat à l’étranger, ce qui pourrait accroître leur popularité au pays.


7. Inventer de nouvelles formes de fiction ; c’est-à-dire réinventer le roman lui-même afin que la publication des livres atteigne de nouveaux publics parce que les livres eux-mêmes attirent les acheteurs. Cela se produit déjà avec la fiction graphique. Mais ces formes expérimentales pourraient être poussées plus loin, beaucoup plus loin.

On screenplay fiction 2

  Canada publishes a reasonable number of books — though that number could be increased; its biggest challenge, however, is selling more books … that is, increasing its share of the Canadian book market from its current low point of 5 percent.

What kind of strategies could be used? The following are worth discussing:

1. Enhanced Marketing and Visibility

There needs to be a concerted effort to market Canadian books more aggressively, both domestically and internationally. This could involve campaigns that highlight the unique aspects of Canadian literature and its relevance to contemporary issues.

2. Support from Retailers (booksellers promoting Canadian literature by featuring it more prominently in stores and online platforms).

3. Cultural Initiatives. These exist already, but there are glaring absences, such as major book fairs. New media festivals for hybrid forms such as videopoems and authorial moviepoems and moviestories much needed.

4. Education and Outreach. Putting more Canadian literature into educational curricula and community reading programs.

5. Diversification of Publishing Models. Genuinely embracing alternative publishing models, such as independent and self-publishing (more about this later, as ingrained snobbery has created a self defeating and intellectually dishonest situation in this regard).

6. International Distribution. Strengthening international distribution channels could help Canadian novels gain acclaim and readership abroad, which in turn could boost their popularity at home.

7. Inventing new forms of fiction; that is, reinventing the novel itself so that publication of books reaches new audiences because the books themselves attract buyers. This already happening with graphic fiction. But these experimental forms could be taken farther — much farther.

Sunday, April 14, 2024

Sur les romans de scénarios illustré 1

 Récemment, le critique Steven Beattie a passé en revue un roman policier écrit sous la forme d'un scénario (un documentaire sur un meurtre) accompagné d'un e-mail/SMS. Il s’agit d’une sorte d’expérience stylistique qui pourrait être considérée comme une mise à jour du roman épistolaire ou quelque chose de nouveau et d’audacieusement moderne. Il reste à voir si ce débat aura lieu, mais je voudrais cadrer le débat en des termes rarement utilisés. Le premier est la spécificité de la production littéraire canadienne (Stephen et moi sommes tous deux canadiens), et le second est l'attitude généralisée à l'égard des œuvres littéraires. Produire un roman dans une édition internationale, c'est-à-dire un roman qui reçoit une renommée et une distribution internationales.


La production canadienne de fiction est considérée presque entièrement comme le produit de maisons d'édition de propriété canadienne et québécoise. En apparence, cette perception semble assez logique. Après tout, qui publie des livres autres que les éditeurs de livres ? Mais ce que les étrangers au domaine ont tendance à ne pas réaliser (et ce que les initiés ne veulent pas non plus admettre), c'est que les livres canadiens sont très impopulaires parmi les acheteurs de livres canadiens. L'industrie du livre et des magazines contrôlait autrefois 25 % du marché canadien, mais elle en représente aujourd'hui 5 %. Ce déclin a amené certains à prétendre que l’édition canadienne est « morte ». Une telle qualification est manifestement injuste. Les éditeurs canadiens produisent environ 20 000 nouveaux livres chaque année. Mais la part de marché reste extrêmement faible. Cela est particulièrement vrai par rapport à d’autres pays. Un initié de l’édition a décrit la performance de l’industrie canadienne comme « la pire en littérature ».


Alors, que devrions-nous faire? Comment les livres canadiens peuvent-ils conquérir une plus grande part du marché national du livre?


(À suivre)